Réforme des retraites : l'histoire ne peut pas s'écrire dans les IEG sans les salariés et leurs représentants.

Réforme des retraites : l'histoire ne peut pas s'écrire dans les IEG (...)

Sans réelle surprise le Conseil Constitutionnel a rejeté hier, 3 mai, le deuxième Référendum d’Initiative Partagée. Sur le plan parlementaire, il reste encore le projet de loi déposé le 20 avril par le groupe LIOT qui prévoit deux articles : l’abrogation de la mesure d’âge et le retour à un âge légal de départ à la retraite à 62 ans, ainsi qu’une conférence de financement du système de retraite. Ce projet de loi sera examiné au Parlement le 8 juin. C’est à ce titre, et pour maintenir la pression, que les Confédérations Syndicales ont décidé d’une nouvelle journée de mobilisation et de manifestations le 6 juin.

Dans l’intervalle, les pouvoirs publics poursuivent leur opération à marche forcée et prévoient de sortir des décrets d’application d’ici à la fin du mois de mai, notamment celui relatif à la suppression du régime spécial des IEG. C’est pourquoi, tout en continuant à contester fermement cette mauvaise loi, les quatre Fédérations Syndicales se sont rendues, ce jeudi 4 mai, à une réunion de concertation avec les employeurs de la branche.

Pour la Cfdt, il n’est pas question que le sort des salariés de la branche des IEG soit scellé sans qu’ils n’aient eu voix au chapitre ! La Cfdt a donc porté des premières revendications dans l’intérêt des salariés actuels et futurs. Découvrez-les ci-après :

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